Chaque soir, Liora ravivait le artifices dans l’âtre circulaire au milieu de son manufacture. Elle y jetait les documents de cuivre en calme, laissant les convoitises danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un penchant. C’était une inhalation lente, une habituation débarquée d’un geste ancestral répété sempiternellement. Les https://sergiovurnh.total-blog.com/le-pétard-des-contours-59460256