Les jours passaient dans un sorte durable, harmonisés avec la luminosité pâle du nord et les métamorphoses ritualisés des corneilles. À l’aube, elles s’élevaient mollement, en spirale, tels que si le ciel lui-même les aspirait à bien écrire des signaux invisibles. L’enfant, dès maintenant adolescente, se tenait n'importe quel matin https://lorenzotacdc.blogspothub.com/33301192/le-coeur-des-corneilles