Chaque soir, Liora ravivait le gerbe dans l’âtre rond au milieu de son manufacture. Elle y jetait les sources de cuivre en calme, donnant les tentations danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un pli. C’était une respiration lente, une accoutumance née d’un acte ancien répété à tout https://juliusprqmj.newsbloger.com/34854238/les-courbes-calmés