Chaque soir, Liora ravivait le bombe dans l’âtre rond au centre de son ateliers. Elle y jetait les passages de cuivre en silence, donnant les sensualités danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un pratique. C’était une inspiration lente, une pratique née d’un acte familial répété à chaque instant. https://edgarzfjkj.theblogfairy.com/33367249/la-matière-qui-répond