Les spores du Namtar flottaient au quotidien dans l’atmosphère moite de la forêt, suspendues entre les couches de journée et de brouillard. Invisibles à l’œil nu, elles dessinaient des schémas complexes dans l’air, modifiant l’état perceptif de ceux qui les respiraient. Dans un fin carré, qui entourent quelques clairières, la https://cesarisvxf.blogolenta.com/31049145/la-clairière-des-premiers-effluve