La vie matinal s’étendait lentement sur les toits d’Istanbul, mais dans l’atelier d’Elif, ce n’était pas la netteté qui guidait les gestes. Le macrocosme y vibrait d'une autre façon, par les reliefs, les sensations olfactives et les sons ténus du vacarme. Dès les premières heures chaque jour, les appels commençaient https://troyxirbl.wizzardsblog.com/34015458/la-surface-et-l-ombre