Sur les flancs volcaniques de Thronos, la végétation persistait, défiant toute raisonnement botanique. Les fleurs malsaines continuaient de solliciter au fil des semaines, chacune porteuse d’un éclat intérieur, indisctinct mais ressenti. Les habitants poursuivaient leurs cueillettes à l’aube, préférant les pétales en conséquence de leur forme, par leur inclinaison ou https://stephenwjorr.activoblog.com/37047505/les-pétales-du-feu