Sur l’île délaissé d’Ankhyra, baignée par la luminosité doré du crépuscule, la prêtresse Callista s’agenouillait au terme de la falaise, creusant l’horizon hégémonique. Chaque nuit, elle attendait le chant des voix venues des profondeurs, ce murmure marin que seule elle pouvait élire. Ces mélodies méconnaissables, tissées dans le caractère un https://catem900rjz0.blogcudinti.com/33951646/les-onde-immobiles