Le désert s’étendait à bien détriment de commune, une mer infinie de sable or ondulant sous la clarté blanche du soleil. Le vent chaud sculptait les dunes en vagues éphémères, effaçant toute empreinte de passage. Ici, dans cet lieu hors du lendemain, où le silence était également dense que l’air https://baudouinofvjv.blogripley.com/34225314/les-signaux-du-désert